Juste une page pour exprimer mes impressions sur une journée de salon quelque part. Sans attendre le tapis rouge, la presse, les "papas rassis" ou bien un repas digne de Lucullus, un écrivain qui se déplace loin (et qui souvent paie sa place) a droit en retour d'obtenir certaines choses : une place correcte pour s'asseoir à l'abri de la pluie et du soleil, un "bonjour" d'une personne de l'organisation ou bien du maire du village, souvent un petit "pot" de l'amitié (même au jus d'orange !), un respect du travail effectué, etc. L'expérience prouve que dans certains endroits, hélas, il est considéré comme du bétail à parquer ou du pigeon à plumer....
Il faut noter par contre que les organisateurs ne sont nullement responsables de la fréquentation du-dit salon, celle-ci dépendant souvent de facteurs différents : chaleur ou pluie, vacances, doublon avec une finale sportive, problèmes techniques, etc. Je ne parlerai donc ni de "chiffre de vente" ni de prix d'entrée (sauf s'il est prohibitif) et me bornerai à donner uniquement mon avis personnel (souvent partagé quand même) sur la manière dont nous avons été reçus.
Une dernière chose : 80% des auteurs viennent pour partager leur passion et discuter avec d'autres écrivains (vous remarquerez que sur ce site je parle d'auteurs et d'écrivains, mais cela englobe bien évidemment les femmes qui sont d'ailleurs plus nombreuses dans les salons). Environ 20 % ne parlent que de "ventes" et râlent s'ils n'ont pas fait une "bonne journée". À mon avis, leur place est ailleurs et fort heureusement, souvent ils disparaissent d'eux-mêmes. Ce sont d'ailleurs les mêmes qui réservent une place dans un salon pour ne pas l'honorer le jour dit, sans aucun mail, aucune explication, créant des problèmes d'organisation (et de paiement) aux bénévoles qui se sont décarcassés depuis plusieurs mois pour tout organiser, prenant en outre la place d'un autre auteur qui lui aurait bien voulu participer. Les organisateurs commencent à se défendre en demandant une caution remboursable le jour du salon. Le procédé peut choquer mais il a l'avantage de ne pas les faire plonger dans le rouge financièrement parlant et il ne gênera pas l'auteur honnête et respectueux. Mais cette caution devrait être redonnée à l'arrivée de l'auteur, et non en fin de journée.
Organisateurs et auteurs, respectons nos engagements pour assurer un événement pleinement réussi...
Hier nous participions au 4e salon de Pionnat, en Creuse. Fidèles depuis 3 ans, nous ne ratons jamais cet évènement qui nous permet de retrouver une équipe sympathique et très dynamique, presque des amis.
Hier nous étions au salon de Saint Sylvain, en Corrèze.
Dimanche 18 mai, nous participions pour la première fois au premier salon du livre de Bassillac (et Auberoche), près de Périgueux.
Première participation à ce salon, la 3e édition, organisé par le gym-club de la ville.
Hier, dimanche 16 mars 2025, avait lieu la 9eme édition de la fête du livre à Sainte-Feyre. Inutile de dire que, fidèles à la manifestation, nous avions réservé de longue date.
Entrée dans la salle des fêtes. C'est grand, c'est moderne, mais on se sent un peu délaissé. Personne ne nous accueille et nous prenons possession de nos 2 tables en silence. Le temps d'aller saluer les autres et nous organisons notre petit coin. Le café nous est gentiment proposé, avec une madeleine (de Proust ?)
Un beau dimanche de septembre, mais plutôt froid. Nous prenons la route à 8 heures tapantes vers Boussac, situé à 90 minutes environ... Circulation sans problème, quoi que un peu de brouillard matinal...
4 août ! Nous partons ce matin pour Allassac, près de Brive, pour le salon annuel. Nous y avions déjà participé il y a quelques années et nous voulions voir si cela avait évolué en fréquentation et autre.
Après avoir donné les consignes aux chiens (intrus = gnap-les-fesses), nous démarrons de Limoges sous une pluie battante qui ne nous abandonnera qu'à quelques kilomètres de l'arrivée.
Ce dimanche matin, nous prenons la route vers le Berry. Les circonstances ne sont pourtant pas très favorables : mauvais temps, pluie, brouillard même sur l'autoroute... Ajoutez à cela que nous avons récupéré les microbes du petit fils, ce qui fait que ma gorge ressemble à une main tentant d'emprisonner un porc-épic en furie, et que ma femme,...